jeudi 30 septembre 2010

TP1 Eric Di-Méo

Bonjour M. Knight

Suite à mes lectures, principalement celles du livre Notes on the synthesis of form de Christopher Alexander et de L’évolution des cités de Schrader Franz, j’ai retenu que la qualité d’une ville est directement reliée avec sa relation au contexte (La ville et son contexte sont complémentaires). Ceci dit, la question dont je voudrais traiter questionnerait les raisons qui justifiaient les nombreuses innadaptations des villes avec leurs contextes durant les périodes mouvementées:

Est-ce que le désir des hommes a valoriser l’architecture, par l’enseignement, a causé les mauvaises adaptations de la ville avec son contexte lors de la période d’industrialisation?

Merci pour vos commentaires

Sujet Tp1 | K. Lefrançois.

Bonjour M. Knight,

Je m'intéresse à la "Garden City" d'Ebenezer Howard et j'aimerais m'en inspirer pour baser mon travail au cours de la session. Ma question tournerait autour du problème d'exode rural que l'on connait depuis quelque années et qui entraîne nautrellement une surpopulation des pôles urbains.

Ainsi, est-ce que la Cité-Jardin présenté par Ebenezer Howard est en mesure de répondre aux problèmes d'exode rural que connait le Quebec actuellement, comme Sir John Gorst avait déjà avancé la problématique:"How to back the tide of migration of the people into the towns, and to get them back upon the land?"

Est-elle en mesure, avec son idée de décentralisation, de contrer l'effet "town-magnet" vers un seut et unique pôle urbain?

Est-il possible que ce système socialiste puisse créer une attraction vers la "town-country magnet" aux yeux d'une société capitaliste grandissante? (En visant l'Amérique du Nord)

Et ce fesant, Comment réunir les attirances de la ville et de la campagne pour en faire une cité jardin capable de répondre aux problèmes que connait la ville et la campagne?

Cela fait beaucoup de questions, mais j'ai tout de même essayer de poursuivre une certaine logique dans leur ordre de questionnement.

QUESTION A PART!
Au sujet de la bibliographie demandé dans le tp1, doit-elle inclure des livres que nous PREVOYONS lire en réponse à notre question ou ce sont des livres que nous DEVONS avoir lu ou commencé à lire?

En vos remerciant de vos commentaires,

Karyn.

TP1

Bonjour,
j'avais écrit un commentaire il y a 2 jours et je n'ai eu aucune réponse...alors je réécrit ma question...

en continuant mes lectures j'ai redirigé mon sujet. Je me penche plutôt sur la problématique de l'étalement urbain et de l'urbanisation diffuse de Montréal, plus particulièrement. Pourquoi est-ce si difficile, dans un contexte moderne, de contenir cet étalement? Quels sont les enjeux et les causes de cet étalement au niveau économique, social et environnemental? La conception intégrée serait-elle une solution?

Est-ce que ma question semble complète? Je sais que ce sujet a été abondamment exploité mais je me pencherai plus sur le secteur de Montréal puisqu'il me touche plus particulièrement.

Auriez-vous d'autres lectures à me proposer (mise à part celles-ci) ?
-architecture de la ville, aldo rossi
-les utopistes et l'urbanisation g. chambon
-la fin des villes mythe ou réalité
-URBAN DESIGN PA 1956 sert et al (texte cours 11)
- Howard (texte cours 5)
-Gentrification ou étalement urbain? : le cas du centre de Montréal et de sa périphérie

Merci

Audrey L. Racicot

TP1 Annick Sanche

Bonjour M. Knight,


Pour mon TP, j’aimerais me pencher sur la formation des villes ainsi que sur la relation qui existe entre l’architecture et la ville. « L'architecte fait-il de l'architecture à partir de la ville ou fait-il la ville à partir de l'architecture ? » Mais principalement, quel est le rôle de l’architecte dans la formation des villes ? Est-il chef d’orchestre, acteur principal, acteur secondaire, ou plutôt spectateur ?


Aldo Rossi présente la ville comme une création collective. Il parle aussi des villes en disant que chacune a sa personnalité propre mais qu’il y a au-delà de ça des lois scientifiques qui règle la croissance des villes (aucune ville n’a de croissance spontanée). Toutefois, selon lui, même en ayant les grandes lignes de formation de la ville, personne ne peut prétendre « faire de la ville ». On est alors en droit de se demander quel est donc le rôle de l’architecte dans la formation des villes ? A-t-il sa place dans la planification de la ville ou celle-ci se forme-t-elle d’elle-même en fonction des habitants, de leur culture, et du temps qui passe ?


Merci d’avance de vos commentaires,


Annick Sanche

TP1, isabelle boisclair

Bonjour M. Knight,
Je m'intéresse beaucoup au plan de M. Howard (cité-jardin, banlieue) et les raisons pour lesquelles il l'a créé. Par contre, je me questionne sur l'impact qu'ont les banlieues d'aujourd'hui sur l'environnement et le développement durable par rapport à la grande ville (centralisation, qualité de vie, densification, proximité...). Ma question serait :
Est ce que le plan d'Howard (cités-jardins) est toujours d'actualité malgré la diminution de la population (pas autant qu'à l'époque de l'exode rurale et lors de l'industrialisation) ainsi que tous les questionnements à propos de la protection de l'environnement (espaces verts, pollution /santé) et le développement durable (sustainability; problème de proximité, pollution, transport, densité)?
Merci pour vos suggestions
Bonjour M. Knight
pour mon sujet de TD j'aimerais me pencher sur la question de la concentration, en réponse à l'étalement urbain.
Pour cela je voudrais centrer mon travail sur quelques projets de Le Corbusier, afin de voir si ces projets (Cité Radieuse, Plan Voisin … ) sont des modèles de substitution à la ville.
Cela m'amènerai à développer l'aspect urbain des projets, et en particulier l'évolution de la rue au cours de ces changements.
Pour la bibliographie, je commence le livre de Rem Koolhaas New York Délire, ainsi que le livre de P. Panerai Formes urbaines de l'îlot à la barre
Je ne sais pas si ce choix correspond à l'attente de l'atelier, j'attend donc vos commentaires avec impatience.
Merci par avance

Sujet TP1

Bonjour M. Knight,

Dans le cadre de ce cours, j’aimerais m’intéresser à Bernard Tschumi, dont le travail s’inscrit contre les idéaux classiques et rejette la notion de forme pour celle d’événement (fruit du « hasard des rencontres entre la structure spatiale (statique) et la vectorialisation du mouvement (dynamique).»

À travers les ouvrages de Tschumi, Event-Cities et The Manhattan Transcripts, je me propose d’analyser la notion de mouvement et d’événement de Tschumi et comment ces aspects influencent le rapport ville et architecture.

Merci à l'avance pour vos commentaires,

Andréa.

TP1

Bonjour M. Knight,

Je m'intéresse à l'œuvre de Le Corbusier et à ses projets urbains utopiques. Je me demandais si je pourrais parler de l'adaptation à notre temps de ces derniers. Sont-ils toujours d'actualité à notre époque où l'environnement et l'étalement urbain sont plus préoccupant que jamais? Nous est-il possible avec les nouvelles technologies de construire ces utopies urbaines?

Merci à l’avance de vos suggestions

Catherine Richard

LA CITÉ JARDIN.ANGULO JOHANA

Bonjour alan, je me suis beaucoup interessé sur le thème de la cité jardin et les theories de Howard, comme la conception de howard consiste en s'attaquer ou problème du developpement de la cité, je me demandais si je pourrais commencer ma recherche aver ces questions:
Est ce que la cité jardin a répondu aux critères por laquelle elle a été crée:l' integration de l'urbain et du rural(ville et campagne)
Est qu'elle a repondu d'avantage aux problémes posés par la ville?
Dans quel moment historique était propose la cité jardin et pour répondre a quel types de problèmes?
Merci beaucoup.
Bonjour,

Bien que cela reste encore très brouillon et que la formule de la question reste à être finalisée, j'aimerais avoir votre opinion et peut-être des idées d'ouvrages à consulter, incluant ceux que vous avez proposés ou autres.


Sujet: Contrôle de l’étalement urbain, recentralisation des pôles, densification stratégique.

Moyen : Densification des friches autoroutières comme nouveaux pôles de transport et d’économie.

Exemple : Shrinking cities : FiberCity 2050, Tokyo. Autoroutes québécoises existantes (étude de cas)

Question :Comment anticiper la disparition des banlieues? Favoriser le resserrement de la population en opposition à l’étalement urbain.

La population décroît et éventuellement, les banlieues perdent la cote. Il faut donc trouver une façon de recentrer la population. La densification des friches autoroutières permettrait de favoriser le resserrement de la population autour des principaux axes de transport par opposition à l’étalement urbain. Ce geste engendrerait également une nouvelle économie en plus de redonner à la nature et aux loisirs les espaces éloignés.


Merci

Noémie Robitaille

TP1 - Simon D. Bergeron

Bonjour

La question que j'aimerais adresser concerne le sujet de l'Utopie utilisée comme moyen de transmission des idées nouvelles.

Bien que la limite du possible et de ce qui peut être construit est constamment repoussée, des nouveaux projets toujours impossibles sont proposés. Chez les modernes je regarde particulièrement les travaux du plan voisin ou ceux d'archigram qui utilisent une démonstration utopique non pas dans le but de le voir construit mais pour démontrer un point.

Ma question porterait sur le sens à donner à l'Utopie aujourd'hui non pas en tant qu'idéàl souhaité mais en tant que moyen de communiquer une idée.

Urban Design_Chloé Lavoie

Bonjour,

Par intérêt personnel pour la multidisciplinarité et le design urbain, j'ai décidé de concentrer mes lectures sur le cours 11. Il me semble que plusieurs enjeux abordés dans ces textes sont encore d'actualité aujourd'hui, 50 ans plus tard même au Canada. Voici la question que j'aimerais approfondir:

''Qui ou quoi influence véritablement le design urbain? Est-ce les architectes, urbanistes et architectes de paysage, ou bien est-ce la politique, la législation ou la communauté, ou encore est-ce le progrès et l’avènement de la voiture qui régit la genèse du design urbain? Regard sur la multidisciplinarité dans l’évolution de la ville.''

Merci beaucoup de vos commentaires,

Chloé Lavoie

TP1 Annie Jean-Lauzon

Pour le TP, je m’intéresse aux stratégies urbaines, à la façon d’implanter un bâtiment dans un environnement quelconque. Il y a deux auteurs qui m’interpellent: Colin Rowe (Collage city) et Aldo Rossi (L’architecture de la ville).
Pour l’instant, je me questionne sur la place que doit occuper le passé et le futur dans le design urbain.
Un projet doit-il s’implanter sur un site en tenant compte de l’histoire de la ville ou encore de l’avenir (imaginaire) de cette même ville ? Quelles places doivent occuper l’histoire et la pensée futuriste dans un projet en contexte urbain ?

J’aimerais avoir des commentaires sur ma question de départ… Est-elle trop vaste?

Merci!
Annie Jean-Lauzon

mercredi 29 septembre 2010

Cerda

Bonsoir,

Tout en ayant comme intérêt la ville de Cerda, j'ai deux sujets qui m'intéressent.

Suite au dernier cours, alors qu'on regardait le travail de Cerda et sa théorie de l'urbanisation, je me suis intéressée non pas à sa trame orthogonale régulière des rues, mais plutôt par l'espace qui a été générée par ce découpage. Je me demandais si le plan de Barcelone qui est pourtant très rigide, ne permettait pas plutôt une flexibilité de cet espace, permettant alors à différentes villes de se l'approprier et de l'adapter selon leur propre culture. Par exemple: Manhattan avec sa trame orthogonale régulière et ses grattes-ciel.

Je me demandais aussi; malgré la théorie approfondie de Cerda sur l'urbanisation et son plan pour Barcelone, si ce sont réellement ses réflexions et son plan qui sont à l'origine de l'épanouissement de la ville, ou est-ce que ce serait plutôt grâce aux aspects sociaux culturels de celle-ci.

Je me demandais si vous pourriez m'aider à centrer ma question à travers mes idées.

Merci

Karine Archambault
Bonjour,

Après mes lectures sur le thème de l'utopie, je m'intéresse particulièrement à la question de la ville. Les textes de Thomas More et Voltaire (L'Eldorado dans Candide) m'ont particulièrement intéressés. C'est pourquoi j'aimerais commencer mon travail sur ces deux récits.

Ce qui m'emmènerait à me demander les limites de ces utopies dans le monde réel : De la ville utopique à sa réalisation.

En effet, même si le terme "utopie" se défini par lui même comme "non-lieu", certains ont essayé de réaliser ces villes.
Je me demandais si ce ne serait pas intéressant d'illustrer ces tentatives par des exemples comme Palmanova en Italie fondée par les vénitiens, la ville de Neuf-Brisach de Vauban, les salines royales d'Arc-et-Senans de Ledoux, Cerda à Barcelone et tant d'autres! Mais peut être faut-il en sélectionner que quelques unes afin d'en faire une étude plus complète...

Et plus je me renseigne sur le sujet, plus je me rend compte qu'il existe des projets de villes entières projetées dans un futur proche comme "
Masdar" qui devrait être une des premières écocités de la planète : 50 000 habitants, 1500 entreprises, le tout pour 2016 (Abu Dhabi), ou encore "Dongtan" près de Shangaï (située sur une île à l'embouchure du Yangzi Jiang au nord de Shangai, elle devrait voir le jour pour 2010. Ville test prévue pour 50 000 à 80 000 habitants intialement, jusqu'à 500 000 en 2050, Dongtan rassemblerait toutes les technologies en conception durable : éolienne, toits végétalisés, limitations en hauteur des bâtiments etc. ).

En effet, qu'a t-on tiré des expériences et des réalisations de certaines utopies? Où va t-on en en réalisant encore aujourd'hui? Car comme le dit Thomas More "Je le souhaite plutôt que je ne l'espère".
Peut t-on et a t-on le droit de planifier une ville entière sans que ça ne devienne du fachisme?

Voilà donc mes pistes qui sont encore peut être un peu vastes...
Lucile Cabut

TP1 - La forme architecturale inspirée par l intention sociale

Par le credo la fonction suit la forme, la physionomie architecturale et urbaine symbolise-t-elle une intention sociale des formes selon la philosophie du siècle des lumières ( Ledoux, Boullée , les fréres krier, Rossi, Eyck)

J aimerai aborder le sujet pour montrer le développement industriel, modulaire et économique, et son influence sur la forme architecturale, ceci selon les siècles:

Blondel, Boullée, Le doux(Ville idéeal de Chaux 1804 ).... le monumentalisme, rapport à l`art = sublime = provoquer des émotions

Krier (Echternach 1970 ) , Rossi ( Gallaratese 1968-76) : idem = architecture à élément vernaculaires

De l`autre coté, Archigram (Walking city 1964): ironie superficielle d`un monde après la guerre, cauchemardesque

La ville verticale, par manque de terrain : Kurokawa: tour a capsules Nagakin, Tokyo, 1971

J aimerai que vous m aidiez à centrer ma question, je me demande si je dois me concentrer sur une période précise?

Ou répondre à cette question en plusieurs parties chronologiques?

Merci de votre aide

Bonne journée

Ouassila Fathi

Question pour TP1

Bonjour,
je suis en train de lire Ebenezer Howard et le livre sur Les cités jardins de demain. Je me rend compte qu'il y a de fortes similitudes dans les intentions et dans l'organisation de la cité jardin de Howard et de la ville Mont-royal (montreal). Pourrais-je guider ma question dans ce sens?Ou est-ce plutôt un sujet plus élaboré pour le mémoire?

Pour le TP1, j'imaginais plutôt faire un résumé des idées de Howard comme éléments significatifs des rapports à la ville.

Exemple de question:
-Comment le modèle de cité jardin de Howard a-t-il influencé les rapports avec la ville?
-Comment le modèle de Howard a-t-il désengorgé la ville industrielle?
-Comment la cité jardin a-t-elle offerte de meilleures conditions de vie?

Tp1

Bonjour M. Knight,
A la suite de mes lectures sur Lewis Mumford et Frank Lloyd Wright, deux sujets m’ont particulièrement intéressé : La place de l’individu dans la ville ainsi que la conception d’une ville durable.

L’individualité et la nature dans les villes ont été sacrifiés au profit de villes qualifiées d’ « utilitaires » par F.L. Wright et dominées par la machine.
En réponse à cela sont nées de nombreux projets utopiques tels que la « Broadacre city » de F.L.Wright. Cette ville dominée par la voiture, permet « une architecture organique qui offre qualité et variété ».
Je me demande si les avantages de la cité organique ne pourraient pas se développer dans nos villes afin d’offrir à chacun son individualité sans pour autant être dépendant de la voiture?

(-Comment la ville dite « utilitaire » par F. L. Wright et dominée par le machinisme peut-elle retrouver son charme ?
- Comment la ville utopique de F.L. Wright, « Broadacre City » pourrait-elle être envisagée sans l’usage de la voiture? )

J’attends vos commentaires,

Merci.

mardi 28 septembre 2010

tp1 Jonathan Tremblay

Bonsoir tout le monde,

Suite à mon intérêt personnel pour la perception sensorielle et émotionnelle des lieux, je me suis intéressé au situationniste international. Sans entrer en détail dans la philosophie sociopolitique situationniste, j’ai choisi un texte de Guy Debord sur la théorie de la dérive.

En fait, comme la majorité des villes dans le monde ont été influencées par l’urbanisme moderniste, je me suis demandé pourquoi les situationnistes s’opposent-ils à ce mouvement. Donc, bien que la dérive soit une exploration d’une variété de lieux ''inusités'' et la psychogéographie, une résultante de cette dernière, soit une compréhension perceptuelle propre à soi-même d'un lieu, pouvons-nous affirmer que les idées urbanistiques modernes d'une trame orthogonale régulière ont nuies à ces modes de vivre la ville?

J’attends vos commentaires.

Merci

Je réponds demain pm

Je vais avoir le temps demain pm à répondre aux nombreuse commentaires posés sur le blog
à Demain.
A

dimanche 26 septembre 2010

... le blog...?!***

Bonjour, je répète ces précisions sur l'inscription au blog...
j’aimerais vous encourager à répondre au courriel d’invitation envoyé automatiquement par Google Blog. Il s’agit de s’inscrire au Google sur le web pour ouvrir un compte Google. Ce compte vous donnez le droit de lire des livres trouvés par des recherches Google etc. Ensuite cliquer sur le lien dans l’Invitation au Blog dans le courriel de Google et entrer votre identification et mot de passe Google et vous avez accès au Blog. Alors pose moi des questions par blog, quand je réponds, tous le monde peuvent me lire...
AK

TP1 de la part de Simon Girard

Bonjour M. Knight

Je n’ai pas complété toutes les lectures mais j’aimerais tout de même proposer ma question pour savoir si c’est un bon point de départ. J’aimerais savoir si le développement de l’architecture moderne et la recherche de styles uniques ne s’oppose pas à la création d’une unité urbaine mais encourage plutôt une individualité et une surprotection de la propriété privé surtout possible en grande partie à cause du manque d’unité social. Est-ce que la ville en soi est utopique. Évolue-telle si vite qu’elle est toujours en réaction face à sont développement?

Ma réflexion me vient surtout de la lecture

L'évolution des cités
F. Schrader
Schrader Franz, . L'évolution des cités. In: Annales de Géographie. 1917, t. 26, n°139. pp. 1-14.

Audrey L TP1

Bonjour M. Knight,
j'ai une idée pour ma question de thèse ; Comment l’architecture peut unifier le sentiment de sécurité chez le cycliste et/ou le piéton en ville? ou en banlieue, enfin, quelque chose qui tournerait autour de ce sujet, puisqu'il m'intéresse.

Cette idée je ne l'ai pas prise dans les sources que vous nous avez proposées...est-ce absolument nécessaire de prendre le sujet dans cette liste?

Sinon qu'est-ce qui pourrait se rapprocher le plus de ce sujet d'actualité?

Je continue à chercher...

Merci beaucoup

samedi 25 septembre 2010

Johana Angulo Monzon. Comment commencer le tp1?

Bonjour Alan, j'ai une question par rapport au thème de mémoire.
- je veux commencer le weekend avec mon projet, donc je me demandait s'il faut que se soit un sujet qui vient du dossier texte à lire où par exemple ça m' intéresse vraiment le thème de cité jardin, c'est le thème de la séance numéro 5. Est ce que je pourrais lire sur howard et geddes et commencer a explorer cela et des autres bibliographies que parle du thème pour faire ma question du départ, ou est que le thème doit être choisi dans une autre cadre? je ne sais pas trop comment commencer. Merci beaucoup pour ton attention.

Un Suggestion de sujet pour le mémoire Stratégies Urbaines

Séance 2 : L’utopie de l’architecture.

Sur le site de la Fondation Le Corbusier on décrit son œuvre architecturale et urbaine d’utopie.
Alors sujet possible - «la pensée utopique dans l’œuvre urbaine de LC.» Il s’agit de définir le concept d’utopie comme une intervention sur les aspects politiques et culturels de la société… on peut donc comparer brièvement l’Utopie de Thomas More avec, par exemple, la ville contemporaine imaginé par LC.

Un Suggestion de sujet pour le mémoire Stratégies Urbaines

Séance 1 : architecture et culture néolithique : «à quel point peut-on associer le travail de Juhani Pallasmaa avec des notions traditionnelles de l’architecture existant depuis 10,000 ans?»

Voir par exemple l’entrevue avec Pallasmaa IN : Journal of Architectural Education, pp. 75–79 ª 2009 ACSA. trad. Fr. Alan Knight.

La forme haptique∗ : Entrevue avec Juhani Pallasmaa
«Dans les cultures traditionnelles, la construction est guidée par le corps de la même façon qu’un oiseau façonne son nid – par son mouvement. Les architectures indigènes semblent naître de l’effort musculaire et du sens haptique (sensation tactile) plutôt que l’œil. (…)»
«La connaissance instrumentale peut être enseigné, comme la mathématique ou les sciences, parce qu’il y a toujours une réponse correcte ou erronée dans ce domaine.
La connaissance existentielle, ce dont je trouve plus importante pour les entreprises artistiques, est fondé sur une compréhension spontanée des essences du monde et de la vie. Ceci est beaucoup plus difficile à enseigner. »

«Ce que l’on peut apprendre par l’expérience de la vie et par émulation, plutôt par l’émulation sous conscient, c’est pourquoi le contacte personnelle est si importante dans les domaines de la création artistique. (…)»
«Il y a certains aspects de l’architecture qui sont né à travers le processus de faire de l’architecture, en y pensant et en y faisant, même dans la collaboration entre celui qui va exécuter le travail et l’architecte. Il y a beaucoup plus de considérations que ceux qu’apparaît sur l’écran ou la table à dessin. Or, dans la construction traditionnelle elles ont été toujours présentes. Il n’y avait pas de table à dessin ou d’écran électronique. Le dessin n’a entré dans la pratique de l’architecture pas plus tôt que la renaissance italienne ; dans le temps de Michelangelo. Les écoles d’architecture peuvent porter la responsabilité pour continuation de la tradition oculaire et une préférence continue pour l’abstrait plutôt que le réel. Le royaume du visible a été théorisé et verbalisé en architecture…
Tout ouvrage signifiant est construit sur une tradition. (La connaissance collective ajk) L’architecte sage, oublie ses ambitions personnels et travail sur la base de ce qui existe et un sens internalisé de la tradition. »

vendredi 24 septembre 2010

Question sur le TP1

Bonjour M. Knight,

Il y a quelques ambigüités pour moi concernant le choix d'un thème et le degré de précision de la question sur le sujet choisi, surtout pour ce qui est du TP1.

J'aimerais guider mon travail vers l'Organicisme (crise de la grande ville). Ce que je me demande, c'est comment je dois être précise sur mon thème (et la question à développer) :

- doit-on élaborer, par exemple sur le thème de l'organicisme, de quel façon il a fait surface, comment il a influencé la ville ... etc.
- doit-on plutôt avoir un sujet précis (élaborer sur le parcours de Alvaar Aalto) sur ce thème et élaborer sur les mêmes points mentionnés?

Comment dois-je centrer mon travail? Avec degré de précision sur l'Organicisme par exemple?

Ce que je comprend bien, est que le TP1 est plus descriptif sur le sujet, pour mener vers le TP2 qui celui-ci se voit être un plan élaborer pour mener au mémoire. Ce dernier étant un travail précis sur une question précise relevant du thème choisi!

J'ai essayé d'aller voir l'exemple que vous avez mis sur le Webdepot, dans TPs, mais il n'y apparaît pas.

J'attends vos commentaires avec hâte,

Merci beaucoup,

Vanessa Dagenais

mercredi 22 septembre 2010

Bonjour, passant tout de suite à la question de départ...

Bonjour, bienvenu sur le blog théorie.

Alors pensons d'une question de départ .... hmmm.....


1- Formuler une question de départ ou : Comment choisir un sujet ?
La façon la plus simple d'aborder le mémoire consiste à essayer d'énoncer ce qu'on veut étudier sous forme d'une question de départ.
Dans cette question de départ, vous exprimez le plus simplement possible ce que vous cherchez à savoir, à comprendre : une notion, un phénomène présent ou passé, une pratique que vous pouvez observer ou une expérience que vous avez faite. C'est cette question qui vous servira de guide tout au long de votre réflexion et de votre rédaction. C'est elle qui vous permettra de vous demander quand vous aurez rassemblé vos matériaux et vos idées : qu'est-ce que je veux montrer à propos de cette question ? La bonne formulation de cette question est essentielle pour la suite de votre travail. Il faut donc prendre le temps de la formuler et de la reformuler, la tester auprès de diverses personnes en vous posant quatres questions:
o est-elle claire?
o est-elle traitable par moi, avec mes moyens et dans le temps dont je dispose?
o est-ce une vraie question?
o est-elle pertinente ?
o
2- Explorer le sujet ou : quelles cartes et quels repères bibliographiques ou archivales existent déjà ?
- La phase d'exploration est celle pendant laquelle vous recueillez des informations sur votre sujet et où vous cernez les différentes façons de l'aborder. L'exploration se fait de deux façons : par des lectures de livres et autres documents écrits et par votre lecture sensible des representations – cartes, photos ou gravures etc.
- Les lectures préparatoires ont pour rôle de vous fournir des informations sur les connaissances et les réflexions qui existent déjà à propos de la question que vous voulez traiter. C'est à partir de ces lectures que vous pourrez déterminer l'angle sous lequel vous voulez aborder le sujet et le point que vous souhaitez préciser.