jeudi 30 septembre 2010

TP1

Bonjour,
j'avais écrit un commentaire il y a 2 jours et je n'ai eu aucune réponse...alors je réécrit ma question...

en continuant mes lectures j'ai redirigé mon sujet. Je me penche plutôt sur la problématique de l'étalement urbain et de l'urbanisation diffuse de Montréal, plus particulièrement. Pourquoi est-ce si difficile, dans un contexte moderne, de contenir cet étalement? Quels sont les enjeux et les causes de cet étalement au niveau économique, social et environnemental? La conception intégrée serait-elle une solution?

Est-ce que ma question semble complète? Je sais que ce sujet a été abondamment exploité mais je me pencherai plus sur le secteur de Montréal puisqu'il me touche plus particulièrement.

Auriez-vous d'autres lectures à me proposer (mise à part celles-ci) ?
-architecture de la ville, aldo rossi
-les utopistes et l'urbanisation g. chambon
-la fin des villes mythe ou réalité
-URBAN DESIGN PA 1956 sert et al (texte cours 11)
- Howard (texte cours 5)
-Gentrification ou étalement urbain? : le cas du centre de Montréal et de sa périphérie

Merci

Audrey L. Racicot

1 commentaire:

  1. Désolé, j'ai pensé avoir déjà répondus au postes de septembre. Alors pour la question: «Pourquoi est-ce si difficile, dans un contexte moderne, de contenir cet étalement? Quels sont les enjeux et les causes de cet étalement au niveau économique, social et environnemental? La conception intégrée serait-elle une solution?» Juste pour entamer le dialogue Audrey, je crois que ce question qui propose l'idée de la conception intégrée est un bon début, mais on risque à passer à côté de la véritable problème ... Je crois que l'idée de la conception intégrée est l'idée derrière le urban design. En Europe, l'idée d'intervenir sur un espace limité dans une population dense, a beaucoup poussé vers cette idée du design compréhensif d'un secteur de la ville. L'organisation municipal, le législation et la politique étant très différente de ceux en Amérique, parfois on pense, comme W. Gropius et Sert avant venir ici, de prôner de tels idées. Cependant ce n'est pas tout à fait possible dans un continent où la propriété privé n'a pas de contraints déjà imposés - mentionnons ici la bail emphytéotique par exemple en Europe. Dans l'absence de tels contraints - un propriétaire terrienne par exemple en Amérique, ou tous les terrains sont à nous à vie et pour nos héritages, on peut faire ce que l'on veut. Donc les projets de design ce fait sur les grande terrains privés - les domaines ou les grandes propriétés comme ceux en centre ville de Montréal achété pour faire la gare centrale du CNR au tournant du 19e siècle, sur lequel on va construire la Pl. Ville Marie etc. C'est cela le leçon dur des années 1950-80. Aux États et parfois au Canada le gouvernement fédérale a offert les fonds publics afin de financer des grandes opérations de «Urban renewal,» alors que Howard avait pensée ces notions de la propriété privé contre des espèces de coop de gens qui habitait le secteur à développer et qui se sont portés acquéreurs. Voilà un début de problématique... Peut-être faut-il jouer la carte de l'inefficacité de secteurs de la banlieue où la municipalité ne peux plus payer pour son entretiens faut de revenues fonciers. Alors la carte des «shrinking cities» ou la «ville archipel» où on va intervenir sur certains territoires inefficaces afin de produire davantage de services - parcs ou sentiers à construire sur les zones désuètes.
    Koolhaas et Ungers ont travailler dans les années 70 à établir ces notions de curetage de tissus désuètes.
    A

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